Grossesse non désirée ? ne restez pas seule ...
Actualite et contacts
- BASTIA : depuis le mois de janvier 2018 la paroisse ND de Lourdes à Bastia a installé un oratoire pour les enfants non-nés afin que les familles puissent se recueillir et déposer leurs intentions. Une messe mensuelle pour la Vie est célébrée tous les premiers samedis du mois à 18h suivie d'un temps d'adoration.
Une permanence d'écoute y est proposée le samedi de 10h à 12h à la sacristie pour ceux ou celles qui sont confrontés à une grossesse imprévue. Il est possible également de trouver un accueil téléphonique le mercredi au 06 51 42 88 65 et au 06 19 22 89 21 les autres jours de 9h à 20h.
- AJACCIO : Un oratoire a été consacré il y a quelques jours à l'église st Roch d'Ajaccio aux grandes intentions de la Vie. Une messe mensuelle pour les enfants à naître y est célébrée tous les derniers samedis du mois à 18h après le chapelet
Une écoute téléphonique est en place : 06 99 46 01 13 ou 06 82 12 19 21 ou 06 19 22 89 21 tous les jours de 10h à 20h.
- CORTE : permanence tous les lundis de 10h à 12h au Presbytère salle st Jean- Paul II. Ecoute téléphonique également au 06 19 22 89 21 de 10h à 20h tous les jours.
Une permanence d'écoute y est proposée le samedi de 10h à 12h à la sacristie pour ceux ou celles qui sont confrontés à une grossesse imprévue. Il est possible également de trouver un accueil téléphonique le mercredi au 06 51 42 88 65 et au 06 19 22 89 21 les autres jours de 9h à 20h.
- AJACCIO : Un oratoire a été consacré il y a quelques jours à l'église st Roch d'Ajaccio aux grandes intentions de la Vie. Une messe mensuelle pour les enfants à naître y est célébrée tous les derniers samedis du mois à 18h après le chapelet
Une écoute téléphonique est en place : 06 99 46 01 13 ou 06 82 12 19 21 ou 06 19 22 89 21 tous les jours de 10h à 20h.
- CORTE : permanence tous les lundis de 10h à 12h au Presbytère salle st Jean- Paul II. Ecoute téléphonique également au 06 19 22 89 21 de 10h à 20h tous les jours.
Statistique des ivg EN CORSE - 2015 - source drees
Statistique des ivg EN CORSE - 2012 - source drees
Liens pour se renseigner :
Quelques associations recommandées par les AFC pour aider et accompagner les futures ou jeunes mères en difficulté.
Mère de miséricorde :
Mère de Miséricorde est une association qui, depuis 1982, propose une écoute téléphonique aux femmes ou couples qu’une grossesse inquiète. Lien : http://www.meredemisericorde.org
Téléphone : numéro vert : 0 800 746 966 sept jour sur sept
Téléphone sur Marseille : 04 91 50 05 05
Session STABAT : mère de miséricorde organise des sessions de cinq jours pour déposer sa souffrance et repartir plus libre qu'avant. Lien.
- Contact : mmcfrancesecretariat@orange.fr
- 27, rue Sainte Philomène, 31400 Toulouse
MAISON BETHLÉEM :
Accueil et hébergement des femmes enceintes en difficulté. Dans le centre-ville de Toulon, elle propose 13 studios équipés à des femmes enceintes ou à des mères de jeunes enfants en situation de précarité. Accompagnement personnalisé de 6 mois à 1 an, assuré par une conseillère en économie sociale et familiale, une équipe de bénévoles et un aumônier.
Contact :
Adresse : Escale des Riaux
25 rue de la glacière 83000 TOULON
Tel : 06 76 73 41 47 / 04 94 24 97 10
E-mail : maisonsbethleem@gmail.com
Lien.
FEDERATION DES MAISONS TOM POUCE
L’association Maison Tom Pouce, apolitique et poly-confessionnelle, compte trois maisons agréées par les Conseils Généraux : deux dans la Sarthe et l’une en Seine-et-Marne. Elles accueillent et hébergent toute femme enceinte en difficulté, dès le premier mois de grossesse. Lieux de vie à caractère familial, elles leur offrent le calme et la sécurité pour les aider sur le chemin de la réinsertion.
LA MAISON TOM POUCE
BP 90, 77253 BRIE COMTE ROBERT Cedex
Tel : 06 19 82 71 10 / Fax : 01 64 06 72 56
Mail : contact@lamaisondetompouce.fr
Site web : www.lamaisondetompouce.fr
S.O.S. LA VIE :
Comment accompagner une femme qui hésite à garder l'enfant qu'elle attend ?
Lien : http://soslavie.free.fr/page2.html
SOS FUTURES MERES - LAISSEZ-LES VIVRE
Association aidant les femmes enceintes qui vivent une grossesse difficile, apporte une aide discrète, bénévole et efficace pour la mère et l'enfant à naître. Agit également dans la prévention et l'information, en présentant ce qu'est l'avortement, ses causes et ses conséquences.
Adresse : B.P. 111, 75463Paris Cedex 10 - France
Téléphone : 0800 868 838 NUMÉRO VERT
Lien : http://laissezlesvivre.free.fr/
CEREMONIE POUR DES ENFANTS NON NES :
Certaines paroisses de Corse proposent de beaux parcours pour les enfants non nés.
Renseignement auprès de l'Eglise St-Roch à Ajaccio.
IVG - AVORTEMENT : EXTRAIT DU CATECHISME POUR LES ADULTES
Conférence des évèques de France. Lien.

drees_2012_-_les_ivg_en_france_en_2012.pdf | |
File Size: | 962 kb |
File Type: |
Communique de presse CNAFC : L’avortement n’est pas un droit fondamental
27 novembre 2014
Aujourd’hui, mercredi 26 novembre, les députés ont voté une résolution pour « réaffirmer l’importance du droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse » (résolution n°2360).
Si une telle résolution* votée par l’Assemblée nationale n’a pas force de loi, elle n’en est pas moins votée par les représentants du Peuple, dotés d’une autorité et d’une responsabilité particulières.
Cette résolution pose cependant deux problèmes juridiques majeurs.
D'une part, en droit français et international, l’avortement n’est jamais reconnu comme un droit ni a fortiori comme un droit fondamental.
Est-ce la raison qui explique que l’Assemblée nationale ait voulu réaffirmer l’importance dudit droit qu’elle souhaiterait pouvoir consacrer ?
L’on peine à comprendre comment 251 députés ont pu déposer une telle proposition de résolution alors que le principe, gravé, lui, dans la loi, est celui du « respect de tout être humain dès le commencement de la vie » (article 1er de la loi n°75-17 du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de la grossesse codifié à l’article 16 du Code civil) ,l’interruption volontaire de grossesse n’étant qu’une dérogation à ce principe.
D’autre part, les députés entendent « rappeler que le droit universel des femmes à disposer librement de leur corps est une condition indispensable pour la construction de l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, et d’une société de progrès ».
Sur quelle légitimité politique et quelle compétence juridique l’Assemblée nationale française peut-elle prononcer un tel droit « universel », quand aucune norme juridique, notamment internationale, ne consacre un tel droit à disposer de son corps. En effet, « disposer librement de son corps » induit, en réalité, de disposer de la vie d’un enfant à naître qui ne peut être assimilé au corps de la mère qui le porte.
Les AFC appellent à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions d’aides efficaces afin que le drame de l’avortement, qui arrête la vie d’un enfant à naître et blesse profondément la femme qui y a recours, régresse dans notre pays.
* Résolution rendue possible par l’article 34-1 de la Constitution (issu de la loi constitutionnelle n°2008-724) et régie par la loi organique n°2009-403.
Aujourd’hui, mercredi 26 novembre, les députés ont voté une résolution pour « réaffirmer l’importance du droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse » (résolution n°2360).
Si une telle résolution* votée par l’Assemblée nationale n’a pas force de loi, elle n’en est pas moins votée par les représentants du Peuple, dotés d’une autorité et d’une responsabilité particulières.
Cette résolution pose cependant deux problèmes juridiques majeurs.
D'une part, en droit français et international, l’avortement n’est jamais reconnu comme un droit ni a fortiori comme un droit fondamental.
Est-ce la raison qui explique que l’Assemblée nationale ait voulu réaffirmer l’importance dudit droit qu’elle souhaiterait pouvoir consacrer ?
L’on peine à comprendre comment 251 députés ont pu déposer une telle proposition de résolution alors que le principe, gravé, lui, dans la loi, est celui du « respect de tout être humain dès le commencement de la vie » (article 1er de la loi n°75-17 du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de la grossesse codifié à l’article 16 du Code civil) ,l’interruption volontaire de grossesse n’étant qu’une dérogation à ce principe.
D’autre part, les députés entendent « rappeler que le droit universel des femmes à disposer librement de leur corps est une condition indispensable pour la construction de l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, et d’une société de progrès ».
Sur quelle légitimité politique et quelle compétence juridique l’Assemblée nationale française peut-elle prononcer un tel droit « universel », quand aucune norme juridique, notamment internationale, ne consacre un tel droit à disposer de son corps. En effet, « disposer librement de son corps » induit, en réalité, de disposer de la vie d’un enfant à naître qui ne peut être assimilé au corps de la mère qui le porte.
Les AFC appellent à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions d’aides efficaces afin que le drame de l’avortement, qui arrête la vie d’un enfant à naître et blesse profondément la femme qui y a recours, régresse dans notre pays.
* Résolution rendue possible par l’article 34-1 de la Constitution (issu de la loi constitutionnelle n°2008-724) et régie par la loi organique n°2009-403.